Alors voilà je mets juste une tite parenthèse avant le RP!! Koyot a fait un RP et je l'ai corrigé mais, son ordinateur ne voulant pas l'ouvrir, c'est moi qui le poste ici. Merci de votre compréhension même si vous avez pas compris!!XD Voici le RP de Koyot!! :
Il était une fois un garçon. Ce garçon, qui habitait dans une cité de France, allait à l'école .L'école, pour lui, était un fardeau. Ce garçon avait des parents désintéressés de tout. Son père était semi-alcoolique et sa mère n'était jamais là. Ce garçon avait un prénom, comme tout le monde, mais personne ne s'en rappelait, alors : ils l'appelaient tous Koyot. Ce jeune était un filou au collège, les profs le disaient ce petit a des possibilités mais lui il préférait la facilitée celle de la rue, d'une citée. A la fin de sa troisième, il réussit à avoir son brevet on ne sait par quel moyen. Il préféra alors, continuer vers un BEP ; un BEP électrotechnique. Il apprit plein de choses ; surtout la vie .Il fut viré d'un premier lycée à cause d'une histoire de drogue. Il réussit à retrouver un autre lycée à 300 kms de chez lui. Pour lui ce n'était pas important. Plus loin il serait de sa famille, mieux il se porterait, car après tout il ne les aimait pas. Enfin, à la fin de ces deux années de BEP, il eût le diplôme de justesse mais en vain. Il retourna chez lui avec ce beau papier content de lui. En arrivant il fût calmé par son père et reprit sa galère dans la rue comme dans l'ancien temps. Petit trafic à droite, à gauche. Un jour il se fit attraper par les gendarmes. Comparution immédiate pour un jeune de 17 ans verdict : « ce jeune doit être calmé. On doit lui mettre du plomb dans la tête. Envoyez-le : soit en prison ou soit à l'armée. » Jeune, Koyot comprit l'armée. Ces ennemis de toujours étaient sa seule chance de s'en sortir. Il prit cette possibilité .Il se tînt tranquille pendant ces classes. Versé dans une unité de têtes brûlées, « commandos » il réussit à finir tireur d'élite dans cette unité. Il voulait devenir militaire de carrière car il comprit que c'était son avenir et qu'il aimait ça. Il fit un an d'entraînement intensif : tir, course sports en tous genres, de quoi prendre des muscles et de quoi pouvoir tuer à mains nues un homme. Un an après son engagement, il partit en Afghanistan au premier mois du conflit.
La compagnie française de commandos établi son campement en Afghanistan avec l'aide des Américains. Cette compagnie fût la seule engagée là-bas les premiers jours du conflit c'était 1'unité de commandos prête à tout supporter et à tout faire…
Dans une belle matinée de juillet, des hommes venaient et repartaient d'une base située en plein désert il y avait 100 hommes tous français, tous dans l'élite de l'armée. Les renseignements et les coups durs étaient leur quotidien. Ils étaient presque tous tireur d'élite, des hommes qui se déplacent toujours par deux pour plus de sécurité. Notre ami Koyot était parmi eux. Tireur d'élite comme son collègue, ils formaient un vrai couple avec son ami Jo. Ils revenaient d'une mission de dix semaines en otarcie complète dans les montagnes, juste eux, leurs armes et les ennemis.
Les deux français étaient stressés. Ce n'était pas la première mission qu'ils menaient seuls au milieu de nul part mais c'était la première fois qu'ils devaient assassiner quelqu'un car ceci fût un assassinat.
Une dizaine de minutes avant de partir de la base ils eurent droit à 1 communication téléphonique directe avec leur famille. Koyot refusa et Jo aussi ils avaient hâte de partir. Ce qu'ils firent juste après avec leur équipement. Une personne de très haut placé leur couru après et leur demanda :
« Avez-vous fait vos testaments? »
Koyot et Jo dirent que oui.
Ils n'avaient pas la tête à ça car ils pensaient revenir en vie de cette mission. Le gradé s'en alla content de son travail. Au bout de trois heures de marche dans les montagnes, ils firent une pose de quelques minutes. Koyot en profita pour alléger son sac en jetant les charges inutiles et fumant une cigarette. Jo, lui, préféra pisser et relire le briefing il prit la carte et dit :
«-Encore 5 jours de marche. On est pas gâté ! On aurait pu avoir un taxi jusqu'à la cible quand même!
-On est pas des galonnes nous ; juste de la chaire à canon des exécutifs. Jo tu le vois bien ! Ils nous envoi comme ça sans appui ! C'est du suicide ! Ils veulent notre peau mais on va leur prouver le contraire! Jo on rentrera tous les deux comme on est parti, d'accord ? dit Koyot. »
Jo lui répondit :
«-D'accord, si tu veux tu vas le buter et on retournera en perm' ! OK !
-Allez en route on perd du temps les filles m'attendent là ! lui dit Koyot.
-OK chef ! On y va ! C'est parti ! répondit Jo. "